Titre :	Les fleurs du mal
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Charles Baudelaire (1821-1867), Auteur
Mention d'édition :	[Nouvelle édition]
Editeur :	Librairie Générale française
Année de publication :	cop. 1972
Collection :	Le livre de poche
Importance :	1 vol. (XVII-40o p.)
Présentation :	couv. ill. en coul.
Format :	18 cm
ISBN/ISSN/EAN :	978-2-253-00710-4
Prix :	20 FRF : 3 EUR
Note générale :	Edition établie selon un ordre nouveau présentée et annotée par Yves Florenne. Préface de Maire-Jeanne Duryy
Catégories :	Poésie
Index. décimale :	821 Poésie-Chanson
Résumé :	Avec Les Fleurs du Mal commence la poésie moderne : le lyrisme subjectif s'efface devant cette « impersonnalité volontaire » que Baudelaire a lui-même postulée ; la nature et ses retours cycliques cèdent la place au décor urbain et à ses changements marqués par l'Histoire, et il arrive que le poète accède au beau par l'expérience de la laideur. Quant au mal affiché dès le titre du recueil, s'il nous apporte la preuve que l'art ici se dénoue de la morale, il n'en préserve pas moins la profonde spiritualité des poèmes. D'où la stupeur que Baudelaire put ressentir quand le Tribunal de la Seine condamna la première édition de 1857 pour « outrage à la morale publique et aux bonnes moeurs » et l'obligea à retrancher six pièces du volume -

Les fleurs du mal [texte imprimé] / Charles Baudelaire (1821-1867), Auteur  . -  [Nouvelle édition] . - France : Librairie Générale française, cop. 1972 . - 1 vol. (XVII-40o p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Le livre de poche) .
ISBN : 978-2-253-00710-4 : 20 FRF : 3 EUR
Edition établie selon un ordre nouveau présentée et annotée par Yves Florenne. Préface de Maire-Jeanne Duryy

Catégories :	Poésie
Index. décimale :	821 Poésie-Chanson
Résumé :	Avec Les Fleurs du Mal commence la poésie moderne : le lyrisme subjectif s'efface devant cette « impersonnalité volontaire » que Baudelaire a lui-même postulée ; la nature et ses retours cycliques cèdent la place au décor urbain et à ses changements marqués par l'Histoire, et il arrive que le poète accède au beau par l'expérience de la laideur. Quant au mal affiché dès le titre du recueil, s'il nous apporte la preuve que l'art ici se dénoue de la morale, il n'en préserve pas moins la profonde spiritualité des poèmes. D'où la stupeur que Baudelaire put ressentir quand le Tribunal de la Seine condamna la première édition de 1857 pour « outrage à la morale publique et aux bonnes moeurs » et l'obligea à retrancher six pièces du volume -