Titre : | Le Vésuve : roman | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Emmanuel Roblès (1914-1995), Auteur | Editeur : | Paris : Ed. du Seuil | Année de publication : | 1971 | Collection : | le livre de poche num. 3115 | Importance : | 316 p | Présentation : | couv. ill. en coul. 4,10 F | Format : | 17 cm | Langues : | Français | Index. décimale : | 823 ROMANS-CONTES-RÉCITS DIVERS | Résumé : | Le lieutenant Serge Longereau, du Corps expéditionnaire français, passe à Naples sa permission de convalescence. En ce mois de février 1944, la ville semble bouillonner d'ardeur à vivre en dépit - ou justement à cause - des bombardements et de l'écho à peine assourdi des combats qui se livrent dans la région : le temps est trop mesuré à tous pour le gaspiller. Serge comprend d'autant mieux les Napolitains qu'il brûle de la même fièvre. C'est dans cette disposition d'esprit qu'il fait la connaissance de Silvia. Elle est réservée, ironique, lointaine - il n'en est que plus épris, plus attaché à la conquérir. Quand, enfin, elle cède, il découvre une Silvia passionnée qui l'incite à déserter et s'organise pour que leur bonheur se poursuive dans la clandestinité. La tentation est grande de laisser les autres se débrouiller avec cette guerre dont il a eu sa part, mais le sens de la solidarité est le plus fort il rejoint quand même son unité... |
Le Vésuve : roman [texte imprimé] / Emmanuel Roblès (1914-1995), Auteur . - Paris : Ed. du Seuil, 1971 . - 316 p : couv. ill. en coul. 4,10 F ; 17 cm. - ( le livre de poche; 3115) . Langues : Français Index. décimale : | 823 ROMANS-CONTES-RÉCITS DIVERS | Résumé : | Le lieutenant Serge Longereau, du Corps expéditionnaire français, passe à Naples sa permission de convalescence. En ce mois de février 1944, la ville semble bouillonner d'ardeur à vivre en dépit - ou justement à cause - des bombardements et de l'écho à peine assourdi des combats qui se livrent dans la région : le temps est trop mesuré à tous pour le gaspiller. Serge comprend d'autant mieux les Napolitains qu'il brûle de la même fièvre. C'est dans cette disposition d'esprit qu'il fait la connaissance de Silvia. Elle est réservée, ironique, lointaine - il n'en est que plus épris, plus attaché à la conquérir. Quand, enfin, elle cède, il découvre une Silvia passionnée qui l'incite à déserter et s'organise pour que leur bonheur se poursuive dans la clandestinité. La tentation est grande de laisser les autres se débrouiller avec cette guerre dont il a eu sa part, mais le sens de la solidarité est le plus fort il rejoint quand même son unité... |
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